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 » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]

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Kazumi Minamoto

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» Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Kazuicon1


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» Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Vide
MessageSujet: » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]   » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] EmptyMer 24 Mar - 19:14

» L'amour est cette merveilleuse chance qu'un autre vous aime
Quand vous ne pouvez plus vous aimer vous-même.
» Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Sanstitre2tm » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Kazuicon
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[Yui Makino - You Are My Love]

    La sonnerie annonçant la fin des cours - et la fin de journée par la même occasion - retentit soudain, interrompant Mr Harris en plein discours. Je m'étirai longuement en poussant un soupir soulagé, heureuse de voir arriver la fin de ces deux heures interminables. Nombre de mes camarades de fac firent de même, et beaucoup commencèrent à commenter l'ennui qu'ils avaient du supporter, tandis que l'enseignant peinait à finir sa phrase. Je sortis mon agenda, anticipant les devoirs qu'il allait donner... Argh. Je grimaçai quand il déclara que nous devions finir la fiche d'exercices qu'il nous avait distribué. J'allais en avoir pour des heures, sans exagération, avant de parvenir à bout de ces mathématiques ! Ma compréhension en la matière avait été mise à rude épreuve chaque année, mais j'avais toujours réussi à me débrouiller et à m'adapter aux programmes toujours différents en fonction des pays dans lesquels j'étudiais. Quand j'y pensais, c'était la première fois depuis longtemps que je restais deux années consécutives dans la même académie. Bah, ce n'était pas plus mal, de ne pas céder à une habitude quelconque. Et puis, je me plaisais bien, à Londres, et il fallait bien que je finisse un jour mes études. Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire plus tard, d'ailleurs. Cela m'avait angoissée, de temps en temps. Un avenir totalement flou, plongé dans la brume la plus totale. Qui sait où j'allais habiter, dans deux ans ? Mais après tout, je m'en moquais. Autant vivre l'instant présent sans s'en soucier ! Je m'en portais très bien.

    Ce cours de mathématiques ne m'avait laissé que de mauvais souvenirs, aussi m'empressai-je de quitter la salle maudite. Je ne pris pas la peine d'attendre mes camarades de fac. Ils était tout à fait dénués d'intérêt et d'originalité. Tous avaient une ouverture d'esprit restreinte, et étaient d'une banalité écœurante. Peut-être qu'un ou deux étaient plus intéressants, je n'en savais rien. De toutes manières, les amis que j'avais dans le lycée et en dehors me suffisaient. Quand j'y réfléchissais, chacune des personnes dont j'avais fait la connaissance à Sweenton Edge étaient plus jeunes que moi, et lycéens. Si ça continuait comme ça, j'allais finir pédophile... J'éclatai de rire à cette pensée. Seul hic. Je n'avais personne à côté de moi, donc je rigolais toute seule, et le couloir dans lequel je marchais était bondé. J'étais tellement habituée à ces regards amusés qu'on me jetait que je n'éprouvais absolument aucune gêne. Et puis, je me moquais de l'avis d'inconnus !

    Revigorée, ce fut en arborant un sourire joyeux que je me dirigeai vers les dortoirs pour y déposer mes affaires. Une fois arrivée à destination, je posai mon sac en bandoulière par terre et refermai la porte derrière moi. Je n'eus pas besoin de jeter un coup d'oeil autour de moi pour vérifier si Sarah n'était pas là : je l'aurais tout de suite entendue. Elle était très bruyante, il fallait dire, mais ce n'était pas ça qui allait me déplaire chez elle, bien au contraire. Sûrement était-elle partie dans la salle commune, pour faire ses devoirs ou parler avec ses amis. Je me laissai tomber à plat dos sur mon lit, les mains posées sur mon front, et contemplai le plafond blanc. Rien d'intéressant dans ma contemplation. Je n'avais pas envie d'aller rejoindre ma colocataire et toutes les personnes que je pouvais apprécier dans la salle commune. J'avais besoin de ma dose de solitude hebdomadaire, non pas pour déprimer et pleurnicher en me lamentant sur mon sort, mais simplement pour avoir un peu de calme. Autant dire que quand je suis dans ces moments, je ne suis pas très agréable avec mon entourage, sauf quand il s'agit d'amis très proches, où j'explique la situation aimablement.

    Je laissai mon esprit vagabonder où bon lui semblait, en me laissant tomber sur le côté, un bras passé sous ma tête. Mes pensées se tournèrent d'abord vers des suppositions sur la suite de l'histoire du manga posé sur ma table de chevet, interrogation peut-être futile pour certains mais existentielle pour moi. Sans vraiment savoir comment, je me retrouvai dix minutes plus tard - ou peut-être cinq ; je n'avais déjà plus aucune notion du temps - à réfléchir sur ma situation actuelle. Je retraçai mon histoire en arrière, sans chercher à fuir le drame qui avait failli détruire ma vie. Failli. Car, sans Ichiro, j'aurais certainement continuer à me voiler la face en me déclarant inconsolable. Bien sûr, mon cœur était encore serré par la culpabilité et par le chagrin d'avoir quitté ma mère sur une dispute violente, d'avoir ignoré ses appels à l'aide, d'avoir été coupable de son suicide. (Ouh là, je m'enfonçais, valait mieux ne pas s'enfoncer dans les détails. Mes lèvres s'étaient pincées pour devenir presque blanches : mauvais.) Mais je pensais avoir réussi à faire face et à m'assumer. J'étais infiniment triste, mais j'avais Ichiro, qui connaissait tout de ma situation et m'avait comprise tout à fait, en partie grâce à la télépathie. Car, télépathe ou pas, il m'avait consolée ! Ouaiche, même que d'abord !

    Je ne cherchai pas à réprimer mon petit sourire en pensant à lui. Il me manquait, tiens. Allez, hop, un texto. Je me levai d'un bond - ouille, la tête qui tourne, j'aurais du aller moins vite -, et me mis en quête de mon portable. Comme d'habitude, je l'avais perdu. En grommelant des injures contre ce fichu objet qui n'était jamais là quand on avait besoin de lui, je fourrai ma main dans mon sac en tirant légèrement la langue sous l'effort. Bon. Pas là. Tant pis, je n'avais qu'à chercher plus tard - flemme, quand tu nous tiens. Un brusque désir d'aller dehors m'assaillit. Était-ce si étrange, de vouloir renouveler sa dose d'air pur dans les poumons ? Bon, D'ACCORD, il devait faire - 5° dehors. Il avait neigé la veille, et la température avait encore chuté pour atteindre les négatifs. Désormais, il faisait trop froid pour qu'il neige. Quant au vent, il n'y en avait plus, bien heureusement, mais le soleil n'était pas bon signe. Quand il y avait un grand ciel bleu sans aucun nuage, il faisait encore plus froid. Pourquoi, je l'avais oublié, mais je me souvenais très bien des explications de mon père quand j'étais au collège. Toujours est-il qu'il faisait très froid et que je faisais bien de prendre mon manteau chaud et confortable que j'affectionnais temps. Je l'enfilai puis enroulai mon écharpe blanche autour de mon cou, et sortis de la chambre, pour descendre les escaliers et arriver dehors. Il n'y avait pas de cour intérieure, et c'était bien là la seule chose que je pouvais reprocher à l'établissement. Je dus donc me contenter de me promener sur l'allée qui partait du portail pour s'arrêter devant la porte d'entrée de Sweenton Edge. Le nez bien caché dans mon écharpe et les mains dans les poches, je m'amusai à marcher dans la neige en dehors du sentier, sans vraiment réfléchir. A chacune de mes expirations, un petit nuage de vapeur se formait devant ma bouche, restait un instant suspendu dans l'air pour finalement s'y dissiper. Oui, sans aucun doute, il faisait TRÈS froid.

    C'est alors que j'entendis un crissement de pneu derrière moi. Intriguée, je trottinai vers le portail en me balançant de droite à gauche de manière assez ridicule. Un nouveau venu ? Ou alors Ichiro était-il venu me rendre visite ? J'eus ma réponse très rapidement, et un immense sourire fendit mon visage quand je reconnus le jeune adulte qui s'extirpait hors du taxi qui l'avait conduit jusqu'ici. J'attendis qu'il paie le conducteur - non mais, il pouvait pas se dépêcher un peu, ce crétin de chauffeur, au lieu de compter son screugneugneu d'argent ? -, et me cachai derrière le muret en attendant que Ichiro franchisse le portail. J'entendis sa voix lorsqu'il annonça sa venue à la secrétaire par l'intermédiaire de l'interphone, que le grincement causé par l'ouverture des portes ait lieu, que quelques pas dans la neige se fassent entendre, puis...

    - YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

    Je hurlai comme une forcenée en me précipitant sur lui, les bras tendus au dessus de moi, avec une grimace censée être terrifiante. Je le percutai de plein fouet et le fit tomber dans la neige. Malheureusement, je chutai également, carrément face contre la neige. Brr, de la neige glacée dans le cou ! Je restai étendue par terre sans bouger pendant cinq longues secondes, avant de lâcher, mine de rien, sans bouger ma tête pour mieux parler :

    - Ça va sinon, depuis le temps ?

    Ma voix avait été étouffée, non seulement à cause du fait que j'avais la bouche dans la neige, mais aussi parce que mes cheveux constituaient une barrière vilaine. Je me redressai avec un air d'automate et tournai lentement ma tête vers lui, sans prendre la peine de me débarrasser des flocons qui parsemaient mon visage.

    - Cha va chinon d'puis l'chtemps ? postillonnai-je, en envoyant valser des petites particules blanches un peu partout.

    En plus, il n'avait même pas sursauté. Même pas drôle. Cela faisait des années que j'essayais de le surprendre, mais à chaque fois, avec son don de télépathe, il me grillait en sentant ma présence et mes pensées. Avais-je un esprit si bruyant ?
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Ichiro Kitsuka

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MessageSujet: Re: » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]   » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] EmptyMer 24 Mar - 20:23

    Il était 18h00 quand j'arriva à l'aéroport, je venais enfin d'arrivé à Londres . Je me dirigea alors vers une boulangerie pour acheté quelques chose a manger car j'était affamé. En effet je n'avait pas pris le temps de manger a midi, ni de me prendre un collation dans l'avion car je n'avais qu'une idée en tête: voir Kazumi. Je m'acheta donc le seul truc français que je vus dans cette boulangerie: un croissant, bien qu'il n'était pas vraiment l'heure pour un croissant je n'avait aucune envi de m'attardé ici. Je me dirigea ensuite vers la station de taxi. Il y avait déjà un couple de personne âgé qui attendais, quand ils me virent arrivé, ils firent de grand yeux et je les entendis penser "Oh! mais quel est son accoutrement" et je crus que je ne pourrais jamais m'empêcher de rire. Un taxi arriva ensuite et je les laissa y monté et j'attendis le suivant. Tous les gens qui passait et je les entendais déblatérer sur moi dans leur tête ce qui me faisait juste doucement rire. après une demi heure a attendre le taxi arriva enfin. A peine fut il arrivé que je m'engouffra aussi sec à l'intérieur en lui demandant d'allé le plus vite possible à l'Académie Sweenton Edge, ce qu'il fit de suite bien qu'il avait des penser de ronchon.
    En 10 minute j'était arriver je sortie de la voiture tandis l'argent pour payer le transport tout en entendant les penser de Kazumi qui m'avait vu pendant qu'elle prenait l'aire dehors et qui s'était caché derrière le mur en maudissant le chauffeur qui ne se dépêchait pas. Je parla ensuite dans l'interphone pour prévenir la secrétaire de mon arrivé et poussa le portail, a peine avais-je fait trois pas que Kazu me sauta dessus ce qui nous fit atterrie par terre. elle avait la tête dans la neige puis me posa une question à laquelle je ne répondait pas car j'attendait qu'elle me la repose à haute voix. Elle le fit après deux petite minute mais ayant toujours de la neige plein la figure elle fit voler des petit morceau blanc en parlant et je ne pus m'empêché de rire. Je me calma ensuite pour lui répondre.

    -Oui ça va ma belle, et toi comment va tu?

    Avant qu'elle n'est répondu je m'était déjà relever. Je la releva a sont tour et la pris dans mes bras en faisant un tour rapide sur moi même tout en la faisant décollé du sol.

    -Tu sais que tu m'a énormément manqué.

    Je la serra ensuite contre mon torse et lui chuchota dans l'oreille.

    -Au faite, non tu n'a pas l'esprit bruyant c'est moi qui est l'ouïe trop fine.

    Puis je me mis a rire car je savait qu'elle n'allais pas apprécier que je commente ses pensées. J’était presque sur qu’elle allais pas trop bien le prendre comme toujours mais qu’elle ne m’en voudrais pas parce que cela faisait longtemps que l’on ne s’était pas vu et qu’elle pensait que je ne venais ici simplement pour une visite et non pour étudier ici.
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Kazumi Minamoto

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» Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Kazuicon1


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MessageSujet: Re: » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]   » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] EmptyJeu 25 Mar - 17:01

[Miki Fujimoto - Boogie Train]

    Arh. Ça commençait très fort. Ma belle. Berk ! Berk ! Berk ! Qu'est-ce que ça sonnait mal ! C'était d'un nunuche dégoulinant, ça suintait la niaiserie ! Je secouai la tête avec vigueur de gauche à droite en m'appropriant une mine furieuse. Rah, il savait bien que je n'aimais pas qu'il m'appelle comme ça ! Malheureusement, il prenait un malin plaisir à m'enquiquiner.

    - Ma belle toi-même, grommelai-je en croisant les bras et en levant le menton bien haut, les yeux fermés, de manière à adopter un air boudeur. Groumpf. Sinon moi ça va très bien.

    J'abandonnai ma tête ronchonneuse pour écarquiller les yeux et crier de surprise lorsqu'il me fit tourner autour de lui, avant d'éclater de rire lorsqu'il me reposa au sol.

    - Moi aussi je me suis manquée, je l'avoue, répondis-je lorsqu'il me confessa la tristesse que mon absence avait déclenchée dans son esprit. Faut dire que je suis une fille formidable.

    L'inconvénient avec un copain télépathe, c'est qu'on ne pouvait jamais rien lui cacher. Donc ma technique du "Oh moi ça allait très bien sans toi, pourquoi ?" ne marchait pas du tout. Il le savait déjà, à quel point il m'avait manquée, sans avoir à vérifier en entrant dans ma tête, en plus. Je n'eus pas le temps de rire à nouveau qu'il me serra contre lui. Je frissonnai lorsqu'il chuchota dans mon oreille - ÇA CHATOUUUUIIILLE -, en fronçant légèrement les sourcils, me doutant d'une quelconque autre taquinerie. Ça ne manqua pas : il était entré dans mon esprit !

    - Sale fourbe ! maugréai-je, alors qu'il riait de bon cœur.

    N'empêche, ça faisait longtemps qu'il m'avait pas fait de câlin, tiens ! Il était tout chaud, et je devais avouer que ça faisait du bien.

    - Je peux t'appeler radiateur ?

    J'éclatai de rire une nouvelle fois en passant mes bras dans son dos et en lançant d'autres absurdités sur son nouveau surnom et sa toute nouvelle utilité pour sa patrie. Ah, ça faisait trop longtemps ! Trop trop trop ! J'espérais qu'il reste le plus longtemps possible, mais je ne savais que trop bien qu'il devrait repartir dans une semaine tout au plus. Ma mine s'assombrit un instant, avant de reprendre ses couleurs deux secondes plus tard. Comme d'habitude, il fallait que je profite de ces moments en sa compagnie ! Bien que j'aurais aimé rester dans cette position plus longtemps - ah mon radiateur chéri -, je me détachai de lui et regardai autour. Une fois sa valise repérée, je m'en emparai en lançant un "T'as vu comme je suis galant avec les filles" et partit vers l'académie. Je fronçai les sourcils. Il n'avait jamais apporté tant d'affaires ! Bon dieu que c'était lourd ! Je titubai sous le poids de l'énorme valise. Il avait emmené pour toute l'année, ou quoi ? Un espoir fou s'anima en moi, et je fis volte-face avec les yeux brillants comme des diamants (de manière qui pouvait être vue comme charmante ou effrayante, si on appropriait ce regard à un psychopathe).

    - Tu restes combien de temps ?

    Même pour deux semaines, c'était lourd ! Et s'il restait tout un mois ? Radieuse, j'attendis sa réponse avec un immense sourire jusqu'aux oreilles. Dis un mois, dis un mois !
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MessageSujet: Re: » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]   » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] EmptyJeu 25 Mar - 18:34

    Ha Kazumi, toujours son dégout pour les petit surnom que je lui donnait ce qui me faisait toujours bien rire. J'adorais l'embêter je n’y pouvais rien c‘était comme cela. après que j’ai répondu a là question qu’elle ce posait elle me traita alors de fourbe, ce n’était pas de ma faute si je l’entendais, elle était drôle des fois. Oui bon d'accord je savais qu'elle déteste que je réponde à ses question "interne" mais j'aimais bien le faire et puis sa me permet de l'embêter un peu plus ce qui n'était pas négligeable. Je lui fit tout de même un gros câlins, j'adore lui en faire. Et voila qu'après le fourbe elle allais m'appelé le radiateur juste parce que j’avais une température externe plus élever qu’elle, je vois qu'elle n'était pas en manque de bêtises a. Je ne pus alors m'empêché de rire et de lui répondre.

    -Si cela peux te faire plaisir, c'est toujours mieux que rien Ha! ha! ha!

    Elle rit a sont tour et j'entendait dans sa tête qu'en voyant ma valise elle espérait vraiment que je reste le plus longtemps possible. Elle embarqua d'ailleurs ma valise et commença a avancé vers l'Académie en titubant et je ne pus m'empêcher de céder a l'hilarité. Elle se posais la question de savoir combien de temps je resterait en voyant le poids inhabituellement élevé de ma valise. Elle se tourna alors vers moi avec les yeux plein d'étoiles et me posa la question. Je m'approcha d'elle tout d'abord et repris la valise de ses mains.

    -Laisse moi donc ça tu va te casser le dos.

    Pour moi elle paraissait légère, car bien que je n'avait pas des muscle sur développer, j'avais beaucoup de force, mais pour Kazumi je me doutait que c'était vraiment le contraire et que ma valise pesais son poids surtout en l'ayant vu tituber. Je commença donc a avancer vers l'académie et répondit enfin à ça question.

    -Et au faite tu va devoir me supporter un bon moment car, j'intègre la Fac. Dis-je comme si cela était tout à fait normal

    Je me mis ensuite à rire en imaginant la tête qu'elle faisait dans mon dos. J'était sur que cela allais lui plaire mais j'espérait qu'elle serait vraiment heureuse de mon choix et pas simplement que cela lui plairait et point, car je n'avait pas fait ça seulement pour moi, si j'était venu à Londres c'était aussi et surtout pour son bonheur.
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Kazumi Minamoto

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» Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Kazuicon1


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» Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Vide
MessageSujet: Re: » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]   » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] EmptyVen 26 Mar - 18:22

[An Cafe - Nyappy in the World 4]

    Ben oui, chacun son truc. S'il m'appelait "Ma Belle", alors je l'appelais "Radiateur". Problème : il ne risquait pas d'être agacé par un surnom du genre. Impossible à énerver, ce gars ! C'était frustrant ! Mais ce n'était pas ça qui aurait pu me déplaire chez lui, après tout. Lorsque je tentai tant bien que mal de transporter sa valise jusqu'à l'entrée, je l'entendis hurler limite de rire. Roh, j'étais si ridicule que ça ? Pas ma faute s'il emportait autant d'affaires qu'une fille ! Je m'efforçai de le penser aussi fort que possible pour qu'il l'entende sans que j'ai à ouvrir la bouche. Je lâchai la valise d'une main pour lui tirer la langue et poser mon index sous mon œil et le tirer vers le bas. Grossière erreur. Forcément, je laissai tomber le bagage qui tomba dans la neige. Je poussai un grognement en essayant de le dégager tant bien que mal, tout en lui demandant s'il restait longtemps, le cœur bondissant en attendant la réponse. Comme je pouvais m'y attendre, il ne me répondit pas tout de suite. Il souleva presque sans peine - soit mon copain était un monstre fait de muscles, soit je n'étais pas très musclée des bras (j'allais faire du culturisme et j'allais le battre, il allait pas comprendre !) - sa valise en riant et en me disant que j'allais me casser le dos. Allez, viens en au fait, sale radiateur fourbe ! Il aimait me laisser mariner, hein ? Trois semaines ? Quatre ? Je ne pouvais pas vraiment espérer plus, malheureusement.

    Sa réplique me laissa littéralement... sur le cul. J'ouvrai grand la bouche, si bien que j'aurais bu aisément gober un essaim d'abeilles, écarquillai les yeux, et m'arrêtai de marcher. Toute l'année ? Et... Et même après, peut-être ? Ils étaient dans la même école ? Ils allaient se voir tous les jours ? Je clignai des yeux en me décidant enfin à remettre mes lèvres en contact l'une avec l'autre. Et il avait fait exprès de me dire cette nouvelle l'air de rien. Bien sûr, il continuait de marcher l'air de rien, hein ? Mais.. Mais... MAIS QUEL CRÉTIIIIIIIIIIIIIIIN !

    - BAKAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! T'AURAIS PAS PU ME LE DIRE PLUS TÔT HEIN, SALE RADIATEUR PLUS MUSCLE QUE SA COPINE ? OUIIINNN !! T'ES MÉCHANT ! T'AS FAIT EXPRÈS DE ME LAISSER MARINER PENDANT... PENDANT SUPER LONGTEMPS ! SI JE T'AVAIS PAS DEMANDE TU M'AURAIS PAS DIT AVANT DES MOIS ! VILAAAAAAAIN ! ET TU ME DIS ÇA L'AIR DE RIEN !

    J'étais limite en train de pleurer - j'avais ma dignité, quand même ! Pleurer de joie, c'était pour les cons de la télévision qui passent aux émissions de télé réalité ! -, et lui, il continuait de marcher sans se tourner ! Rahh ! Il faisait exprès, je le savais. Il allait voir ! Je lui fonçai dessus pour le faire basculer en arrière (deux fois en dix minutes), et, sans me préoccuper de la valise qui tombait une nouvelle fois dans la neige, je le serrai bien fort contre moi. En fait, je n'étais pas du tout en colère contre lui, mais cela me paraissait évident. J'étais juste tellement contente que je ne disais plus que des choses incohérentes. Mes bras passés autour de son torse, je laissai quelques secondes s'écouler avant de demander en fronçant les sourcils :

    - C'était pas une blague, hein ? Parce que sinon c'est de très mauvais goût !

    Mais je souris néanmoins. Je le connaissais bien assez pour savoir qu'il ne me mentirait jamais sur un tel sujet.


[Je dois aller manger, donc pas le temps d'étoffer et de faire plus >.<]


Dernière édition par Kazumi Minamoto le Mer 7 Juil - 10:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]   » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] EmptySam 3 Juil - 13:34

    Apres ma réplique, dite sur un ton anodin, Kazumi me hurla alors dessus puis me fonça dessus. Je ne tomba néanmoins pas sous l'impacte mais laissa tout de même tombé ma valise a terre. Apres quelques secondes, je me tourna pour être face a elle et que je puisse la plaquer contre mon torse pendant qu'elle me demandais.

    - C'était pas une blague, hein ? Parce que sinon c'est de très mauvais goût !

    Je me mis a rire avant de lui dire tendrement:

    -Bien sur que non Princesse, comme si je pouvais te faire une tel blague. Ca serai odieux.

    Je me mis a rire de plus belle car je savais qu'elle allais s'énervé a cause de ce surnom, mais j'adorais tellement ses réaction que je n'avais pas pu me retenir. Je repris donc ensuite ma valise avant le nouveau cataclysme en ajoutant simplement.

    -Tu va tomber malade si on reste dehors nous ferions mieux de rentrer en plus si on se dépêche pas un peu je pense que je vais finir par emménager dehors et non dans une chambre.

    Je lui fis ensuite un grand sourire tout en commençant a marcher en la tirant par la main doucement.
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» Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Vide
MessageSujet: Re: » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]   » Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun] Empty

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» Aimer, c'est préférer un autre à soi-même. [PV Ichiro kun]

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